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22/03/2019

Comme s'agitent les seaux au fond des puits (fragment)

nous commençons la descente.jpg
ill. jlmi 2019

 

Mesdames messieurs

nous entamons la descente

 

tout le monde sait ça

depuis la naissance

 

ceux

qui ne sont pas tranquilles

ont droit à un bonbon

 

les autres se penchent aux

hublots pour

voir le terrain d’atterrissage

 

 

00:33 Publié dans inédits | Lien permanent | Commentaires (0)

18/03/2019

un regard sur le monde...

WL map.jpg

WL à Beaune   © Alain Kewes

 

 

00:42 Publié dans Rencontres | Lien permanent | Commentaires (0)

15/03/2019

rencontre avec Werner Lambersy...

 

Image1.jpg

 

Dimanche 17 mars Werner Lambersy sera au salon Livre Paris chez Rougier et chez Baude

 

 

 

15:32 Publié dans Rencontres | Lien permanent | Commentaires (0)

réédition

une réédition très attendue de ce long poème initiatique amoureux

maitre et maison.jpg

Retour vers le futur ? La poésie, comme l’amour, se joue du temps qui passe. Alors, un poème d’amour...

Initialement paru au Cormier avec une préface de Pierre Dhainaut il y a près de quarante ans, réédité deux fois (Labor puis Hors Commerce), ce poème de l’initiation amoureuse compte parmi les œuvres majeures de Werner Lambersy qui est lui-même l’une des voix les plus profondes et originales de la poésie contemporaine. Plus que poème, Maîtres et maisons de thé est une « cosmogonie » selon le mot de Jacques Lacarrière dans sa préface à la 3e édition, « où l’invité, au terme de ce transit des corps et des cœurs devient un Transi d’amour (...) qui pourra percevoir, à la fois sublime et narquois, le clin d’œil de l’éternité »
Bien sûr, remarque Pierre Dhainaut, « comment ne pas songer au Tao, au Zen surtout ? A la cérémonie du thé, au rituel des bouquets, des jardins et du tir à l’arc. Mais ce que l’Orient nous suggère, nous aurions tendance à en tirer un savoir pour l’illustrer. A quoi bon ? Le savoir alourdit, qui nous oblige à choisir l’idée, l’ombre, aux dépens du réel, la fraîcheur, la clarté. » C’est cette fraîcheur, cette clarté sans âge que Rhubarbe est très heureux de rendre à nouveau accessible aux lecteurs, ce chemin amoureux qu’il importe, aujourd’hui tout autant qu’hier, de parcourir avec la joie confiante que confère l’essentiel.   

suivi de (Poste restante), postfaces de Pierre Dhainaut et Jacques Lacarrière

couverture : Porte qui bat par Serge Marlin

 

Rhubarbe

 

15:16 Publié dans Parutions | Lien permanent | Commentaires (0)